https://actu.fr/sports/rugby/pro/transferts-club-par-club-voici-tous-joueurs-pro-d2-fin-contrat-juin-prochain_19335636.html?fbclid=IwAR3Txx6oX2QtxTfKBTg7tNYjfj3-P098r7zQL2b2dj9kFnkx3AJMDv0K2fU

Bon ben ça va se jouer devant !

Lolohea/Toleafia,, il y a peu chez les Waratahs

17. David Lolohea

19. Senio Toleafoa

Compos, joueur à suivre, chiffre... : tout ce qu'il faut savoir avant le match USON Nevers - Montauban

https://www.lejdc.fr/nevers/sports/rugby/2018/11/08/compos-joueur-a-suivre-chiffre-tout-ce-qu-il-faut-savoir-avant-le-match-uson-nevers-montauban_13046050.html

Le manager neversois connaît mieux que quiconque l’USM, lui qui l’a entraînée jusqu’en 2016. Il donne son sentiment avant d'accueillir ce vendredi à 20 heures sur ces nouvelles terres bourguigonnes son ancienne équipe pour cette rencontre pas comme les autres.

Vous signez un excellent début de saison malgré une lourde défaite à Brive dimanche dernier (31-13). De bon augure avant d’affronter une USM en panne de résultats ?
On a pris une petite fessée, surtout dans les 20 premières minutes où on prend trois essais. Dans le contenu, le score est un peu lourd. Mais on voit les dégâts que peut faire une entame ratée. Notre jeune groupe a besoin de leçon pour grandir. Ça en était une. Il nous faut à tout prix gagner à la maison pour ne pas remettre en cause notre objectif de qualification.

Quel regard portez-vous sur l’USM qui se présente ?
Je vois le match qu'ils ont fait face à Brive, ils doivent le gagner s’ils concrétisent leurs bonnes actions. Contre Bayonne, ils prennent un essai alors qu’ils sont dans une forte période de domination. Ça se joue à quelques millimètres. S’ils marquent, ils peuvent sortir Bayonne du match. Je connais le groupe. Il est blessé, donc très très dangereux.

Vous craignez le réveil de la bête blessée ?
Oui. C’est un groupe fort, avec des leaders forts. Je les crains énormément.

Vous devez aussi vous souvenir de la victoire montalbanaise de l’an passé au Pré Fleuri (16-18)…
En Pro D2, Nevers n’a jamais battu Montauban ! Ils sont en difficulté aujourd’hui, mais c’est peut-être là qu’ils sont le plus dangereux.

Vous avez connu une période de doute avec l’USM ?
Je n’ai jamais connu que des périodes heureuses ! Chacun les gère comme il l’entend.

Sur quels leviers peut-on agir dans ces cas-là ?
Je ne vais pas donner les miens ! Ça appartient à chacun. Je ne veux pas donner de leçon à qui que ce soit. Tous les groupes sont différents, il faut être à l’intérieur pour les connaître.

L’USM possède une vingtaine de joueurs en fin de contrat. Est-ce que ce fait peut influer sur les résultats d’une équipe ?
Ce sont des choix de clubs. Quand tout le monde est en contrat, on peut dire que tout le monde s’endort. Il faut savoir ce que va mieux vivre l’homme. Certains se plaisent en fin de contrat, d’autres sont plus en difficulté. Cette situation est courante dans le rugby pro.

FLORENT DUPRAT

Velours has written

Bon ben ça va se jouer devant !

Sauf qu'a un moment on sait qu'on va pousser la mélé à 7 pendant 10 min.

Je ne comprend pas la titularisation de Seneca!! Pour le reste très belle équipe et très gros banc

tof18 has written

Velours has written

Bon ben ça va se jouer devant !

Sauf qu'a un moment on sait qu'on va pousser la mélé à 7 pendant 10 min.

Je ne comprend pas la titularisation de Seneca!! Pour le reste très belle équipe et très gros banc

Et bien il faut croire que le Manager de l'USON a conscience que Jordan Sénéca présente, possède, affirme des qualités intrinsèques de jeu, et dans la vie collective des Azur & Or. M. Péméja cherche, souvent, à faire preuve de bienveillance pour les hommes qui constituent son groupe en ayant en tête que la sanction pour la sanction implique un impact individuel mais,  par porosité, sur le liant collectif. 

On en reparle demain?...

«J'ai honte.» «On passe pour des cons à faire de la merde.» «Un gros coup de pied au cul.» «Une équipe meurtrie.» Les déclarations du staff, des joueurs et des dirigeants montalbanais étaient sans équivoque juste après la cuisante défaite (pour ne pas dire humiliante vu le scénario) contre Bayonne dimanche dernier (14-25). Sans vouloir tirer sur l'ambulance, il faut bien avouer que les Montalbanais ont déçu. Se sont déçus même. «Il ne faut pas se le cacher, nous jouons le maintien», avouait très clairement Pierre-Philippe Lafond en conférence de presse d'après-match.

Le choc digéré, le discours a quelque peu changé, devenant moins défensive, presque incisive. Une crise ? Quelle crise ? «Nous assumons nos choix» ont ainsi lancé les coachs sapiacains. Avant d'enchaîner : «Il faut sortir de cette nasse au plus vite.» Après les coachs, ce fut au tour des présidents de s'exprimer. «On a confiance dans le groupe», assurait Thierry Eychenne, quand son coprésident Jean-François Reygasse parlait d'un «problème évident de confiance», assurant que son équipe est «victime d'une somme de détails.»

Des détails qui s'accumulent inlassablement : de trop nombreux ballons tombés et une inefficacité proche des lignes ajoutés à des munitions perdues en touche. Seul point positif : la mêlée semble s'être un peu refaite la cerise.

«Recommencer à être des chiens de terrain»

«Et maintenant, on fait quoi ?» pourrait-on dire pour reprendre la banderole des Ultras exposée juste après le coup de sifflet final dominical. «On s'est peut-être vu trop beau. On a peut-être mis les pieds sur terre, tranche Amédée Domenech. Il faut rebondir maintenant. Les mecs ont soif de victoire pour faire taire beaucoup de gens qui ne nous aiment pas forcément aujourd'hui. On est dans la difficulté, ça peut ressouder le groupe. On était des chiens de salon, on va recommencer à être des chiens de terrain. On n'a rien à se mettre sous la dent, on va aller chasser», image le capitaine tarn-et-garonnais.

REGION OCCITANIE

REGION OCCITANIE

Dans le viseur de l'USM cette semaine, l'USO Nevers. Les hommes entraînés par Xavier Péméja (lire ci-après) ont réussi un début de saison canon jusqu'à s'octroyer la place de leader. Mais leur défaite de la semaine passée contre Brive (13-31), actuel leader, les a& ramenés dans le rang. «Tout le monde prétend qu'on va en prendre 50 à Nevers ce soir», reprend le capitaine sapiacain. «On peut vite prendre le feu, prévient Serge Sergueev. Mais il faut rester sereins. Il faut qu'on se dise qu'on a les moyens de faire quelque chose. L'an passé, avec quasiment les mêmes joueurs, on fait l'un des plus gros matchs de la saison (remporté 18-16, N.D.L.R.). Ce soir, ce sera un gros combat», conclut le deuxième ligne.

«Je suis plutôt dans l'optique que nous n'avons rien à perdre», résumait Pierre-Philippe Lafond avant de prendre en charge la répétition générale sapiacaine hier matin. Certes. Il s'agirait maintenant de (se) rassurer. Sous peine de passer encore quelques semaines très, très pénibles…

Florent Duprat

chouchou58 has written

tof18 has written

Velours has written

Bon ben ça va se jouer devant !

Sauf qu'a un moment on sait qu'on va pousser la mélé à 7 pendant 10 min.

Je ne comprend pas la titularisation de Seneca!! Pour le reste très belle équipe et très gros banc

Et bien il faut croire que le Manager de l'USON a conscience que Jordan Sénéca présente, possède, affirme des qualités intrinsèques de jeu, et dans la vie collective des Azur & Or. M. Péméja cherche, souvent, à faire preuve de bienveillance pour les hommes qui constituent son groupe en ayant en tête que la sanction pour la sanction implique un impact individuel mais,  par porosité, sur le liant collectif. 

On en reparle demain?...

je suis d'accord avec toi et ne remet absolument pas en cause la valeur intrinsèque de Seneca. Je lis ci et là que Montauban vient le couteau entre les dents, qu'il vont nous offrir un match extrèmement virile et qu'il ne faudra pas rentrer dans leur jeu. Et s'il y a bien un joueur à Nevers qu'ils vont arriver à faire dégoupiller c'est Seneca.

Le rugby est un sport virile, le combat et l'engagement physique en sont les moteurs principaux, pas de soucis la dessus, mais le plus important pour jouer au rugby c'est tout de même de se servir de la masse gélatineuse qu'on a entre les 2 oreilles. Ces déblayages de malades qu'il nous fait par deux fois, devant l'arbitre, alors que nous ne sommes pas en danger et qu'il joue depuis à peine 20 min, donc encore frais, pour moi sont des fautes professionnelles. Car notamnent à Brive il nous tue le match, et sacage le boulot de ses 22 compères.

J'espère que tu as raison et que cette semaine, il aura pu mesurer les conséquences de son acte, mais si je me souviens bien, La Rochelle n'en voulait plus à cause de çà.

Je trouve déjà Pemeja très fort mais s'il arrive à nous canaliser Seneca, il faudra lui édifier une statue à l'entrée du stade.

Certes, on prend un 0-14 en infériorité numérique à Brive, Sénéca se prend certes encore un fois un jaune "idiot"et largement évitable, mais ce n'est pas de son ressort si on gère très mal la situation à 14 contre 15.

Il y a des équipes qui savent très bien gérer ce genre de situation sans quaiment prendre de points et nous, nous ne sommes malheureusement pas toujours  si perfprmant que ça en supériorité numérque..

Les commentaires sur le forum briviste arguaient souvent ,d'ailleurs ,du fait que le score était bien sévère au vu des 80 mnn et que les corréziens avaient fait preuve d'un maximum de réalisme sur ce match.

Il reste dans les 260 places en tribune. ça ne sera peut être pas à guichets fermés comme il y a 15 jours, mais on, ne devrait pas en être très loin.

thierry has written

Certes, on prend un 0-14 en infériorité numérique à Brive, Sénéca se prend certes encore un fois un...

tof18 has written

chouchou58 has written

tof18 has written

Sauf qu'a un moment on sait qu'on va pousser la mélé à 7 ...

Et bien il faut croire que le Manager de l'USON a conscience que Jordan Sénéca présente, possède, affirme des qualités intrinsèques de jeu, et dans la vie collective des Azur & Or. M. Péméja cherche, souvent, à faire preuve de bienveillance pour les hommes qui constituent son groupe en ayant en tête que la sanction pour la sanction implique un impact individuel mais,  par porosité, sur le liant collectif. 

On en reparle demain?...

 

je suis d'accord avec toi et ne remet absolument pas en cause la valeur intrinsèque de Seneca. Je lis ci et là que Montauban vient le couteau entre les dents, qu'il vont nous offrir un match extrèmement virile et qu'il ne faudra pas rentrer dans leur jeu. Et s'il y a bien un joueur à Nevers qu'ils vont arriver à faire dégoupiller c'est Seneca.

Le rugby est un sport virile, le combat et l'engagement physique en sont les moteurs principaux, pas de soucis la dessus, mais le plus important pour jouer au rugby c'est tout de même de se servir de la masse gélatineuse qu'on a entre les 2 oreilles. Ces déblayages de malades qu'il nous fait par deux fois, devant l'arbitre, alors que nous ne sommes pas en danger et qu'il joue depuis à peine 20 min, donc encore frais, pour moi sont des fautes professionnelles. Car notamnent à Brive il nous tue le match, et sacage le boulot de ses 22 compères.

J'espère que tu as raison et que cette semaine, il aura pu mesurer les conséquences de son acte, mais si je me souviens bien, La Rochelle n'en voulait plus à cause de çà.

Je trouve déjà Pemeja très fort mais s'il arrive à nous canaliser Seneca, il faudra lui édifier une statue à l'entrée du stade.

100% d accord.

J ajouterais cependant que sa canalisation passe justement par sa titularisation de ce soir. Et c'est en ça que X Pemeja est un grand manager. Il fait d une pierre 2 coups. Car faut bien se dire que la 1ere 1ère ligne endosse le travail de sappe que la 2ème 1ere ligne devra bonifier...

Et qui mettre d autre à gauche à part Curie, sachant que nos 2 droitiers restant sont polyvalents ???

Seneca a ce profil de chien fou, il use les défenses. Lolohea use les defenses par ses attaques au près sur passe droite ou au cordeau.

Quand tu les remplaces par Curie et roelofse tu mets moins de vitesse mais plus de poids et tu inverses la poussée en mêlées... Tu passes d un droitier fort à un gaucher fort. Ça calme si tu n as pas le répondant en face.

On verra si le jeu après la 60eme valide cette hypothèse.

Une connerie reste une connerie, maintenant, c'est fait, le punir....? Le laisser sur le banc...?

Je ne suis pas coach, je ne vois pas tous les joueurs pendant la semaine.Donc, si Seneca et sur la feuille, il y a sa place.C'est sur qu'il va traîner cette bourde un moment, nous les supporters nous ne sommes pas tendre.

OK,  il est habitué à ces mouvements "d'humeur" il doit se canaliser, espérons que cette fois, il a retenu la leçon. 

 Si , pour moi,  il y a une chose à retenir de la défaite à Brive c'est que cela nous aura remis les pieds sur terre.On se voyait trop beau??? Attention Brive c'ést déjà pas facile à jouer à l'extérieur mais a la maison on a vu, ils ont joué avec les règles,  avec leur jeu avec leurs qualités. Nous aussi on a joué avec nos qualités et la, malheureusement, on a vu qu'il manqué encore un petit quelque chose.Je pense que sur le match de Brive, même si l'erreur coûte chère,  il y a eu beaucoup d'autres problèmes dont certains sont plus récurents que les jaunes de Séneça. 

Pro D2 – 11e journée
Nevers – Montauban, 22-19
Sortis du piège !

SERMOISE-SUR-LOIRE – Vendredi 9 novembre, 20 h – Stade du Pré-Fleuri. Nevers bat Montauban, 22-19 (12-9). Points-terrain : 4-1. Évolution du score : 3-0 ; 3-3 ; 6-3 ; 6-6 ; 9-6 ; 9-9 ; 12-9 ; 12-12 ; 15-12 ; 20-12 ; 22-12 ; 22-17 ; 22-19.
Arbitre : Hervé Lasausa Lespy Labaylette. Juges de touche 1, Mathieu Delpy ; de touche 2, Baptiste Abel Coindoz ; d’en-but 1, Christian Grégoire ; d’en-but 2, Yannick Thébault. Arbitre 4 : Christophe Apparicio. Arbitre 5 : Damien Dauvissat.
Temps frais, pelouse en excellent état, éclairage parfait. 7.203 spectateurs.

Pour Nevers : 1 essai Fraser (59e’) ; 1 transformation et 5 pénalités (6e’, 12e’, 18e’, 38e’, 58e’) Henry. Carton jaune : Genevois (29e’).

Pour Montauban : 1 essai Rochier (71e’) ; 1 transformation et 4 pénalités (7e’, 15e’, 36e’, 45e’) Bosviel. Carton jaune : Rochier (57e’).

Nevers : 15. Le Gal ; 14. Raisuqe, 13. Naqiri, 12. Bolakoro, 11. Bonvalot ; 10. Henry, 9. Faleali’i (21. Urruty, 72e’) ; 7. Cotte (20. Fraser, 52e’), 8. Fabrègue (cap.), 6. Gibouin (16. Elliot, 33e’-40e’ ; 19. Bastide, 61e’) ; 5. Toleafoa (18. Bradshaw, 63e’), 4. Ceyte ; 3. Loloea (23. Roeloefse, 45e’), 2. Genevois (16. Elliot, 40e’-75e’), 1. Sénéca (17. Curie, 45e’). Non utilisé : 22. Derrieux. Manager Xavier Péméja ; entraîneur des avants Sébastien Fouassier, entraîneur des arrières Guillaume Jan.

Montauban : 15. Bosviel ; 14. Desbois (21. Luatua, 49e’), 13. Mathy (20. Lilomaïava, 50e’), 12. Florent Domenech, 11. Sayerse ; 10. Fortunel (13. Mathy, 63e’), 9. Briscadieu (22. Chaput, 52e’) ; 7. Dimitri Vaotoa (6. Haddon, 69e’), 8. Amédée Domenech (cap.) (2. Van der Westhuizen, 63e’-67e’ ; 5. Dry, 80e’), 6. Haddon (19. Muñoz, 58e’-68e’) ; 5. Dry (18. Esclauze, 61e’), 4. Sergueev ; 3. Christopher Vaotoa (23. Facundo, 53e’), 2. Van der Westhuizen (16. Rochier, 53e’), 1. Vanaï (17. Agnesi, 53e’). Entraîneur des avants Pierre-Philippe Lafond, entraîneur des arrières Jean-Frédéric Dubois.

Nevers redoutait Montauban. Finalistes il y a deux saisons, demi-finalistes lors du précédent exercice, les Montalbanais ne pouvaient pas être tombés si bas sans trouver désormais les ressources d’une remontada dont le Pré-Fleuri aurait pu être le théâtre. Mais, héroïques parfois, les Jaunets ont fini par s’extraire d’un guêpier bien préparé par une formation venue en Nivernais comme l’aurait fait un commando. Le XV azur et or se forge une expérience tout en conservant une place parmi les meilleurs de Pro D2.

Duel de botteurs
Dès l’entame, les Sapiacains montrèrent qu’ils étaient prêts à livrer une lutte farouche aux Jaunets. Et si le pied gauche de Zack Henry, fut le premier à solliciter le tableau lumineux, le droit de Jérôme Bosviel lui répondit dans la foulée. Le duel à distance entre les deux bombardiers, se poursuivit jusqu’à la pause, le local trouvant trois fois la cible en autant de tentatives, le visiteur n’échouant qu’à une reprise sur quatre, et encore, sa frappe de plus de 50 m envoyant le cuir sous la barre !
Si les artificiers s’occupèrent à meubler leurs statistiques, les deux packs se causaient du pays à chaque affrontement. La tactique des joueurs du Tarn-et-Garonne consistant à contester tous les ballons joués au sol par les Nivernais freina inlassablement le rythme que ces derniers auraient aimé donné à la rencontre.
Dès qu’ils furent un de plus, après le carton jaune adressé à Jean-Philippe Genevois, Amédée Domenech et ses hommes pensèrent même profiter de l’aubaine avant le changement de côté. Mais les Neversois, s’arc-boutant sur leur ligne, dégoutèrent l’appétence visiteuse.

Sapiac ou ça casse
Le pied droit de Bosviel ramena bien l’équilibre, peu après la reprise, mais les Sapiacains finirent par craquer sous les assauts de Nivernais survoltés pour passer. Le talonneur remplaçant Jordan Rochier fut convié à se reposer dix minutes, payant les pots cassés d’une équipe limite dans le domaine de la discipline, quand une chandelle de Thomas Fortunel se transforma en contre-attaque sous le talent de Zack Henry. L’Anglais de Nevers franchit la ligne d’avantage puis adressa un coup de pied à suivre que Jason Fraser maîtrisa mieux que Sergei Sergueev pour être le plus prompt à aplatir. En coin, Henry ne trembla pas et resta à 100 %.

Une mêlée gagnée
Plus expérimentés dans l’épreuve de force, les Montalbanais réussirent à revenir de 22-12 à 22-19, à dix minutes de la fin, une percée de l’ailier Pierre Sayerse trouvant sa conclusion dans l’essai en coin de Rochier… transformé par Bosviel.
Galvanisés par ce retour et par l’éventualité de décrocher un premier succès loin de Sapiac, les gars de Montauban, renforcés par l’ancien Usoniste Pierrick Esclauze, investirent la moitié de terrain neversoise. Mais alors qu’ils avaient, jusque là, dominé dans le secteur de la mêlée ordonnée, ils furent contrés, à la 77e’, par un effort collectif de Nivernais sublimés par la victoire qui se profilait.
Une dernière possession des Montalbanais, à la sirène, fit passer un ultime frisson dans les travées du Pré-Fleuri mais la défense des Jaunets réduisit à néant cette balle de match.

Ovalien Dupré

Exactement comme la réception d'Oyo, c'est le genre de match qu'on aurait perdu l'an dernier.

Un Zack Henry de feu et une défense très solide. Par contre depuis le bloc 2 on vaut plus un pichet de cidre en mélée alors que sur le papier ca cause.

Très belle équipe de Montauban qui est venue faire le meme match que l'an dernier (que l'on avait perdu de 2 points...). Comme Massy après les avoir vu chez nous, je me demande ce qu'ils font en bas du classement.

Velours has written

Exactement comme la réception d'Oyo, c'est le genre de match qu'on aurait perdu l'an dernier.

Un Za...

Tt à fait d'accord; c'est un point à travailler et surtout une piste à bien gérer pour le recrutement.

BOUBOU 58 has written

Velours has written

Exactement comme la réception d'Oyo, c'est le genre de match qu'on aurait perdu...

Tt à fait d'accord; c'est un point à travailler et surtout une piste à bien gérer pour le recrutement.

La mêlée c'est tellement spécifique que quelquefois, cela devient de la Philo.un jour tu es dans le sujet, le lendemain tu passe à côté. De plus,  nous avons eu des retours de blessures, de la nouveauté,  je pense qu'il y a d'autre priorité sur le recrutement.Perso, quand je vois les équipes qui nous ont bousculé en mêlé il n'y a pas de quoi rougir.Le travail va payer, mais nous entrons dans la saison des risques de blessures, froid, terrains gras, difficiles pour les appuis, attention les bancs vont avoir beaucoup d'importance .

Zack Henry, très bon, il est content de jouer car, comme il me le confirmait, un 10 ça doit prendre ses marques avec tous les joueurs et c'est en forgeant que l'on devient forgeron.Du temps de jeu,du temps de jeu et il va nous épater.